L’augmentation mammaire à travers le temps
Opération chirurgicale qui a commencé à avoir de l’ampleur vers la fin de la deuxième Grande Guerre, l’augmentation mammaire était avant 1945, une intervention rare avec des méthodes limitées. Cependant, avec le temps, ce domaine de la médecine a évolué avec les besoins accrus des femmes
Ce qui s’était passé entre 1945 et 1962
Comme on dit, « la femme et le complément de l’homme » et là où l’homme demande du complément généralement, c’est surtout au niveau des seins. Alors, que ce soit par nécessité esthétique ou par besoin en santé, la femme fait tout pour agrandir ses glandes mammaires. En ce sens, à partir de 1945, l’agrandissement de ces glandes a été rendu possible grâce à la chirurgie. Mais il faut savoir dans les débuts des années 50, les interventions ne se faisaient pas encore avec l’inclusion de prothèses en tout genre. Les intervenants et les chirurgiens travaillaient sur de la plastie mammaire qui permettait de rendre les seins plus volumineux. Vers les années 60, on a commencé à faire des procédures d’injection et même d’inclure des prothèses pour faire augmenter les volumes mammaires.
De 1962 à ce jour
À partir de 1962 et parallèlement avec l’évolution des recherches qui ont permis de trouver le cyclopentanoperhydrophénanthrène, l’augmentation mammaire a vu des techniques qui se sont développées. Parmi celles-là, on peut citer les différentes sortes d’injections. Mais il y a également le rétro mammaire. Pour les injections, les chirurgiens injectaient le plus souvent de la paraffine. Une procédée assez dangereuse étant donné que cette substance était faite d’hydrocarbure et de vaseline. Quelques années plus tard, on a opté pour l’huile et le gel de silicone, à injecter. Vers les années 1967, la méthode se faisait avec des greffons à partir de membranes humaines. Cela considérait des transplantations graisseuses et l’utilisation de greffons cutanés. Après, les différentes sortes d’implants prothétiques sont apparues. Comme ceux de types anciens faits d’ivoire ou de caoutchouc, mais aussi les prothèses en ivalon et ceux en polyuréthane ainsi que les prothèses en polystan. Ce dernier qui est le résultat d’une transformation chimique sous une très haute pression.
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